Jeffrey Cagnes

Après avoir été pendant des années à la tête de la plus ancienne pâtisserie de Paris, Jeffrey Cagnes fait ses adieux à la Maison Stohrer pour ouvrir une première boutique à son nom. Entre tradition et modernité il décline un univers sucré très personnel qui reprend en même temps les codes de la pâtisserie française.

Pour sa première adresse éponyme, Jeffrey Cagnes a choisi le quartier des Batignolles, un quartier bobo, familial, branché et particulièrement vivant. Un coté authentique et décomplexé que vous retrouvez dans la décoration au style industriel de la pâtisserie : mur en pierre, étagère en bois et en cuivre, lampes à filament, le tout dans des tons neutres et naturels, végétalisé de pots de basilic.

Deux comptoirs se font face. D’un côté, retrouvez les pains et viennoiseries, avec des croissants et pains au chocolat au feuilletage impeccable, des pains réalisées par un artisan-boulanger selon les recettes de Jeffrey Cagnes, des brownies et financiers aux allures de muffins, et bien sûr, ses incontournables babkas qui se déclinent aussi en format individuel pour le plaisir de tous.

Tournez le regard de l’autre côté et vous tomberez nez-à-nez avec des pâtisseries emblématiques. Car si Jeffrey Cagnes ne souhaite pas réinventer le genre, il impose tout de même son style, laissant ses origines méditerranéennes et son attirance pour la street food s’exprimer. Résultat, le Paris-Brest se transforme en cornes de gazelle, la tarte au citron sertie de noisettes concassées affiche un look rock pour un gout percutant et la religieuse se métamorphose au goût de pistache.

Laissez-vous surprendre également par les créations originales du chef, à l’image du Trop’Dog, un beignet au zeste d’orange garni d’un caramel et d’une ganache à la fleur d’oranger sous la forme d’un hot dog. À dévorer de plaisir !