Foucher

Foucher, un maître-chocolatier parisien

La confection des chocolats est réalisée selon les recettes traditionnelles et à base d’ingrédients de grande qualité. Ganaches, pralinés, truffes, cerises à l’eau de vie, gianduja, orangettes, mendiants, amandes enrobées… autant de merveilles issues de la tradition familiale.

Laissez-vous tenter par les marrons, confits dans un sirop composé de sucre et de gousses de vanille de Madagascar puis enrobés d’une fine pellicule de sirop de sucre glace translucide et satiné. Ou par le plaisir doublement coupable des cerises macérées plusieurs mois dans de l’eau de vie, puis enrobées de chocolat. Quant aux pâtes de fruits élaborées à partir de fruits frais, sans colorant, ni arôme artificiel, et les délicieuses ganaches enrobées de chocolat et poudrées de cacao, elles seront vous remémorer vos souvenirs d’enfance d’une seule bouchée.

200 ans d’histoire entre art et chocolat

En 1819 s’ouvre le premier magasin Foucher au cœur du Faubourg Saint-Germain, dans l’axe ultra commerçant de la rue du Bac. Dans ce quartier élégant à la réputation artistique et littéraire, Louis-Aubin Foucher profite du succès du Bon Marché, situé à proximité, pour développer son activité d’épicerie et de fabrication de chocolat.

Mais c’est grâce aux illustrations des boîtes de chocolat commandées par Caroline Foucher, épouse de Louis, que la marque rencontre le succès. Elle fait d’abord appel à Eugène Belville, artiste emblématique de l’Art Nouveau parisien qui avec ses dessins aux inspirations végétales crée de véritables écrins précieux et confère à la maison une véritable identité visuelle. De nombreux artistes reconnus dans le mouvement Art déco, tel Barbier ou Arnoux participent ensuite à l’aventure Foucher.

Comme une histoire d’amour qui lie l’art et le chocolat, le plaisir des yeux et du goût, Foucher a su perdurer malgré le temps et les épreuves, et l’entreprise reste dirigée par la 6ème génération des descendants de Louis-Aubin. Une histoire comme on les aime, d’un fils de paysans franciliens qui débute dans une petite épicerie pour enfin construire une entreprise fleurissante, symbole de qualité et du bon goût à la parisienne.

Avec maintenant une deuxième boutique installée sur la rive droite, tout proche de l’Opéra Garnier, et une réputation internationale notamment au Japon, le succès est total. Et c’est deux fois plus de chance d’avoir l’occasion de profiter du bon goût du cacao et d’admirer les incontournables dessins qui ont fait la réussite de la maison.